Accusations contre l'armée :
Le personnel médical maltraité lors d’une intervention dans un hôpital de Gaza
Selon un rapport de la BBC de mardi, du personnel médical a été humilié et maltraité lors d'une intervention de l'armée israélienne dans un hôpital de la bande de Gaza. Les forces d'intervention leur auraient bandé les yeux, les auraient retenus pendant plusieurs jours et les auraient forcés à se déshabiller, selon le rapport.
Les personnes concernées auraient également été frappées avec des bâtons, des crosses de fusil et des tuyaux. Selon la BBC, un médecin a rapporté qu'un soldat lui avait cassé la main. Les forces israéliennes auraient peint une étoile de David sur un plâtre. D'autres membres du personnel de la clinique ont raconté qu'ils avaient dû s'agenouiller pendant des heures dans des positions inconfortables et qu'ils avaient été aspergés d'eau froide. Certains employés de la clinique sont portés disparus depuis l'intervention de l'armée israélienne, a encore annoncé la chaîne en citant des proches.
Des images de prisonniers en sous-vêtements
La BBC a également publié une photo qui montrerait des hommes agenouillés en sous-vêtements et les mains croisées derrière la tête devant le bâtiment des urgences. Selon les informations, des blouses seraient posées devant certains d'entre eux. Des médecins ont déclaré à la chaîne qu'ils avaient également été emmenés sans vêtements dans un centre de détention (voir ci-dessous).
200 suspects arrêtés, des armes saisies
L'armée israélienne a fait savoir que les patients et le personnel n'avaient pas été blessés lors de l'intervention. Les allégations de mauvais traitements ne sont pas connues. Le droit international est toujours respecté. Il s'agissait d'une "opération précise et limitée contre l'organisation terroriste du Hamas à l'hôpital Nasser" dans la ville de Khan Younis, au cours de laquelle environ 200 suspects avaient été temporairement arrêtés en février et des armes saisies.
Il arrive régulièrement que des personnes suspectes soient arrêtées temporairement et que leurs vêtements soient examinés pour détecter des armes ou des explosifs cachés. Après l'annonce de ces accusations, le gouvernement britannique a exigé des explications complètes.








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